More often than not, escape is not so easy, because majorities will not be willing to incur the high costs that might attend attempts to leave the arrangements. Merely because an agreement has produced immobilism and discontent does not mean that its support is as decayed as its institutions are feeble. Ineffective consociational dispensations do not simply wither away or give rise to more sustainable arrangements. There may be a strong constellation of interests holding the consociational status quo together. For one thing, minorities tend to be attached to the consociational bargain. They may begin to have doubts about the bargain they made, as some Catholic nationalists have had in Northern Ireland, especially after the moderates of both groups who crafted the consociational deal were displaced at the center of power by more extreme parties, or as certain Bosnian Serbs and Croats have had, or as certain Walloons in Belgium have had. Yet they may fear the consequences of alternative arrangements more than they dislike the stalemated status quo. In Bosnia, the alternatives proposed from time to time—in 1999, in 2006, three times in 2008–09, and then again in 2013—involve deviations from strictly consociational institutions. Such changes as a dilution of veto powers, an end to exclusively ethnic representation, or a different electoral system might weaken the hold of minority representatives on their voters and on the system. If those minority representatives have an option of resorting to armed force against changes deemed unfavorable, the possibility of violence is a strong disincentive for a dissatisfied majority to change.

Le plus souvent, l'évasion n'est pas si facile, car les majorités ne être prêt à assumer les coûts élevés que pourraient entraîner les tentatives de quitter le dispositions. Simplement parce qu'un accord a produit l'immobilisme et le mécontentement ne signifie pas que ses appuis soient aussi délabrés que ses institutions sont faibles. Les dispenses consociatives inefficaces ne se contentent pas dépérir ou donner lieu à des arrangements plus durables. Il peut être une forte constellation d'intérêts détenant le statut consociatif quo ensemble. D'une part, les minorités ont tendance à être attachées au marché consociatif. Ils peuvent commencer à avoir des doutes sur le marché ils ont fait, comme certains nationalistes catholiques l'ont fait en Irlande du Nord, surtout après que les modérés des deux groupes qui ont élaboré l'accord consociatif ont été déplacés au centre du pouvoir par des groupes plus extrémistes. partis, ou comme l'ont eu certains Serbes et Croates de Bosnie, ou comme certains Les Wallons de Belgique en ont eu. Pourtant, ils peuvent craindre les conséquences de arrangements alternatifs plus qu'ils n'aiment le statut bloqué quo. En Bosnie, les alternatives proposées de temps à autre - en 1999, en 2006, trois fois en 2008-2009, puis à nouveau en 2013 – impliquent des déviations par rapport aux institutions strictement consociatives.Des changements tels qu'une dilution des droits de veto, la fin de la représentation exclusivement ethnique ou un système électoral différent pourraient affaiblir l'emprise des représentants des minorités sur leurs électeurs et sur le système. Si ces représentants des minorités ont une option de recours à la force armée contre des changements jugés défavorables, la possibilité de violence est une forte dissuasion pour un insatisfait majorité pour changer.