In short, there tends to be strong external support for consociational arrangements, although there are exceptions. In Bosnia, the Dayton Accords fell out of favor with Western powers within a few years, for reasons that are beyond the scope of this article but have much to do with which groups are in favor and which are not. While no fundamental change was contemplated in Northern Ireland even after protracted lapses in the functioning of the Good Friday Agreement, and while at the same time the Annan Plan—consociational to the nth degree— was being pressed on Cypriots, Europeans and Americans were telling Bosnians that such arrangements were unsuitable for them and not in conformity with entry into the European Union. This was done notwithstanding the presence of a deadlocked consociational government in Brussels, at the heart of Europe. The net result of these external preferences was that Bosnia’s minorities would have no international support if they resisted change, while other consociations, however deadlocked, would have support not only from minorities inside but also from friends outside. Even so, Bosnians were resistant to several proposals for vote-pooling electoral systems in the late 1990s, then to open Western favoritism toward political parties deemed to be moderate on ethnic issues in 2000 and after, and finally to various plans to reduce the redundancy of group guarantees and the complexity of Bosnian institutions during the next decade.

En bref, il y a généralement un fort soutien externe pour les relations consociatives. arrangements, bien qu'il y ait des exceptions. En Bosnie, le Dayton Les accords sont tombés en disgrâce auprès des puissances occidentales en quelques années, car des raisons qui sortent du cadre de cet article mais qui ont beaucoup à faire avec quels groupes sont favorables et lesquels ne le sont pas. Bien qu'aucun changement fondamental n'ait été envisagé en Irlande du Nord, même après de longues défaillances dans le fonctionnement de l'accord du Vendredi Saint, et alors que en même temps le plan Annan — consociationnel au énième degré — on faisait pression sur les Chypriotes, les Européens et les Américains disaient Bosniaques que de tels arrangements ne leur convenaient pas et non conformité avec l'entrée dans l'Union européenne. Cela a été fait malgré la présence d'un gouvernement consociatif dans l'impasse à Bruxelles, au cœur de l'Europe. Le résultat net de ces préférences extérieures était que les minorités bosniaques n'auraient aucun soutien international si elles résistaient au changement, tandis que d'autres consociations, même dans l'impasse, auraient un soutien non seulement des minorités à l'intérieur mais aussi des amis à l'extérieur.Même ainsi, les Bosniaques ont résisté à plusieurs propositions de systèmes électoraux de mise en commun des la fin des années 1990, puis d'ouvrir le favoritisme occidental envers les partis politiques jugé modéré sur les questions ethniques en 2000 et après, et enfin à divers plans visant à réduire la redondance des garanties groupe et la complexité des institutions bosniaques au cours de la prochaine décennie.